Raid Afrique - Etape 20 : Ndola - Kalomo |
Après nous être séparés à regret de OLDFIL, le raid n’attend aucun feu vert pour se poursuivre.
Prochaine étape, Kalomo, une sorte de buffet halte au milieu de nulle part où les uns pourront boire un chocolat pendant que les autres siroteront un thé à la menthe. Par ici, la chaleur est une compagne tenace… Même en ce début d’automne austral.
Ce n’est d’ailleurs pas la faute d’une quelconque météo chagrine. Aujourd’hui, il ne fait ni beau, ni pas beau. Juste un grand tapis de nuage au-dessus de nos têtes, dans le voisinage des 7000 pieds.
Les 270 NM à venir promettent d’être assez calmes.
Et ils le sont ! Du calme plat, dans un ciel aussi sage qu’une mer d’huile. Pas de vent, pas de turbulences, on s’ennuie fort, là-haut, derrière le manche.
Même le paysage ne s’en fait pas trop. En bas rien de bouge, rien de tressaille. A croire qu’ils roupillent tous encore, hommes, animaux, insectes et feuillus. Le seul oiseau à troubler cette paisible contrée, à faire du bruit…, beaucoup…, c’est encore notre C47.
Pour lui, tout va bien. Il ne chante pas comme un rossignol, mais il ronronne comme un chat heureux. Hardi, petit C47, tu ne trahis pas la confiance que nous avons en toi !
Kalomo se rapproche doucement, à petites brassées d’hélices. Le chocolat est prêt, le thé aussi, nous le savons par la radio.
Alors on se pose, gentiment, discrètement. Pas de béton cette fois, on soulève un peu de poussière. On confie notre sac de courrier aux autorités, on boit une gorgée, et on remonte dans le cockpit.
Les chutes du Zambèze ne sont pas loin. Nous avons déjà préparé la pellicule…
Prochaine étape, Kalomo, une sorte de buffet halte au milieu de nulle part où les uns pourront boire un chocolat pendant que les autres siroteront un thé à la menthe. Par ici, la chaleur est une compagne tenace… Même en ce début d’automne austral.
Ce n’est d’ailleurs pas la faute d’une quelconque météo chagrine. Aujourd’hui, il ne fait ni beau, ni pas beau. Juste un grand tapis de nuage au-dessus de nos têtes, dans le voisinage des 7000 pieds.
Les 270 NM à venir promettent d’être assez calmes.
Et ils le sont ! Du calme plat, dans un ciel aussi sage qu’une mer d’huile. Pas de vent, pas de turbulences, on s’ennuie fort, là-haut, derrière le manche.
Même le paysage ne s’en fait pas trop. En bas rien de bouge, rien de tressaille. A croire qu’ils roupillent tous encore, hommes, animaux, insectes et feuillus. Le seul oiseau à troubler cette paisible contrée, à faire du bruit…, beaucoup…, c’est encore notre C47.
Pour lui, tout va bien. Il ne chante pas comme un rossignol, mais il ronronne comme un chat heureux. Hardi, petit C47, tu ne trahis pas la confiance que nous avons en toi !
Kalomo se rapproche doucement, à petites brassées d’hélices. Le chocolat est prêt, le thé aussi, nous le savons par la radio.
Alors on se pose, gentiment, discrètement. Pas de béton cette fois, on soulève un peu de poussière. On confie notre sac de courrier aux autorités, on boit une gorgée, et on remonte dans le cockpit.
Les chutes du Zambèze ne sont pas loin. Nous avons déjà préparé la pellicule…